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Date de création : 17.08.2009
Dernière mise à jour : 01.09.2014
562 articles


La France et ses valeurs en quelques questions ?

Publié le 28/08/2010 à 10:02 par lejournaldessurvivants Tags : valeurs république france
  • La France et ses valeurs en quelques questions ?

    Qu’est-ce que la France ?
    Historiquement, une entité fondée en grande partie sur l’achat, l’échange (entre seigneurs et rois) ou la conquête (et le pillage) de territoires ; voire, de plébiscites discutables ou manipulés.
    Ayant longtemps reposée :
    - Sur l’allégeance obligée ou obligatoire des notables en contrepartie de privilèges ;
    - Sur le clientélisme politique ;
    - Sur la vente de son âme et de sa dignité contre quelques « avantages » ;
    - Sur la destruction des cultures « minoritaires » par l’école publique et obligatoire, les organes « d’information », les livres ; l’usage obligatoire du français dans les « relations » avec l’administration ;
    - Sur l’exploitation et le pillage des ressources de « ses provinces » et de « ses » colonies ;
    - Sur la déportation des hommes pour les besoins des guerres.
    - Sur la traite négrière (beaucoup de fortunes actuelles se sont « bâties » sur cette traite et se sont poursuivies sur d’autres formes de la traite des humains) ;
    - Sur la prolétarisation, la « fonctionnarisation » et l’émigration des populations vers les villes et les grandes métropoles.
    - Sur la répression de toute résistance.
    - Sur l’écrasement dans le sang de toute « rébellion ».
    - Sur l’installation de fausses oppositions chargées d’encadrer et de museler les populations.
    - Sur la dénonciation et la répression des «insoumis ».
    - Sur l’uniformisation et la prostitution des terroirs selon « le modèle » consumériste américain.
    Et plus particulièrement, ces quelques décennies :
    - Sur le renforcement accru des privilèges, de l’intouchabilité et de l’impunité des privilégiés et des intouchables ;
    - Sur l’accaparement et le dévoiement des institutions ;
    - Sur la lecture et l’interprétation des faits, du droit, des droits et des lois au bénéfice des catégories intouchables ;
    - Sur la criminalisation de leurs victimes ;
    - Sur l’idolâtrie de catégories d’individus du fait de leur fonction, de leur appartenance sociale ou idéologique ;
    - Sur l’idolâtrie des maîtres et de leurs valets ;
    - Sur la criminalisation de leurs victimes ;
    - Sur l’inversion des culpabilités et des valeurs ;
    - Sur le mensonge, l’imposture et l’hypocrisie ;
    - Sur le travestissement, la violation et la confiscation des valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité ;
    - Sur l’enfermement de ces slogans afin qu’ils ne restent qu’à l’état de slogans ;
    - Sur le flicage et l’encadrement des populations ;
    - Sur le renforcement des interdictions et des répressions ;
    - Sur la protection des pires racistes et les pires racismes ;
    - Sur les campagnes permanentes d’incitation à la haine contre nos concitoyens musulmans ;
    - Sur la diabolisation, la criminalisation, la suspicion, la stigmatisation de nos concitoyens musulmans et des cités ;
    - Sur la protection des uns et la surveillance des autres ;
    - Sur la mise de l’islam en France, sous gestion policière ;
    - Sur la corruption et les primes à la servilité ;
    - Sur les dogmes de la souffrance unique, de la mémoire unique et du génocide unique (qu’il est interdit de discuter) ;
    - Sur la monopolisation de la souffrance, de la mémoire ;
    - Sur la hiérarchisation et la discrimination des souffrances, des génocides, des mémoires, des indignations ;
    - Sur les exclusions de mémoires de « La Mémoire » voire, de leur négation ;
    - Sur « la culture » unique et la « diversité » monolithique ;
    - Sur « la culture » paillette voulue par les maîtres ;
    - Sur « le prêt-à-penser » pour empêcher de penser ;
    - Sur l’occultation et l’étouffement des vraies cultures ;
    - Sur l’abêtissement des populations ;
    - Sur un « modèle » culturel obligatoire et obligé ;
    - Sur l’apologie et la généralisation de la pensée unique ;
    - Sur les polices de la pensée ;
    - Sur l’entretien du niveau zéro de la pensée ;
    - Sur la division des populations en fonction des critères d’utilité établis par les maîtres ;
    - Sur le réveil et la valorisation des plus bas instincts ;
    - Sur la culpabilisation et l’écrasement des Français « moins égaux » que les autres.

    On note une constante continuité politique entre les systèmes monarchique et « républicain » en matière d’oppression, de répression, de privilèges et de « protections ».

    D’un pouvoir « héréditaire» plus ou moins perméable, dans ses débuts, aux infiltrations, aux marchandages, avec ses rivalités, ses conspirations ; nous sommes passés d’une monarchie poreuse, décadente et finissante à une République « démocratique » commençante, fondée sur la Terreur, dans ses débuts, instiguée par les bourgeois et les protégés de la monarchie.

    Les objectifs essentiels des inspirateurs et acteurs de la « Révolution française » et de la République ; ont été non seulement la reprise en main d’un pouvoir affaibli, mais de prendre le pouvoir et de s’accaparer de tous les pouvoirs et de maintenir, renforcer et accroître leurs privilèges et le nombre de privilégiés et de corrompus afin de se maintenir au pouvoir.

    Les héritiers de la « Révolution française » et de la République (voire même de la monarchie !) sont dans ces mêmes objectifs et vivent dans la hantise que le pouvoir puisse leur échapper par notamment l’application concrète de l’égalité (qu’ils proclament comme valeurs pour les nécessités de la propagande et enferment en tant que slogan dont ils ne veulent surtout pas la concrétisation) puisque leur pouvoir ne repose que sur l’inégalité ; d’où le renforcement permanent des lois répressives et inégalitaires et de la répression.

    Une République qui ne s’est maintenue et renforcée jusqu’à nos jours ; que par les illusions de la « démocratie » et des élections ; les maillages policiers et la sacralisation des lois les plus liberticides et inégalitaires ; et aussi, il faut bien le dire, par la lâcheté et la servilité de beaucoup rejoints par une masse de psychopathes maniaco-répressifs, prisonniers de leur neurone unique et de leur mal d’exister.

    De destructions en destructions, d’accaparements en accaparements ; de trahisons en trahisons, de répressions en répressions, de lâchetés en lâchetés, de soumissions en soumissions ; la France est devenue elle-même une colonie économique et pénitentiaire ; une réserve vouée au bien-être des maîtres et de leurs valets.
    .
    A qui appartient la France ?
    Certainement pas aux individus qui se sont accaparés des institutions, en violation de la Constitution, afin d’en faire des armes de guerre au service d’intérêts étrangers, contre d’autres Français ; de dominer et d’asservir d’autres Français.
    A noter que l’Article 3 de la Constitution indique qu’ « aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’attribuer l’exercice (de la souveraineté nationale).

    Qui est Français ?
    Toutes les personnes issues des territoires composant la France et celles qui au gré de l’histoire, pour x ou x raison, s’y sont installées.
    Contrairement à ce que l’on voudrait nous faire croire au moyen de diverses campagnes racistes et islamophobes de stigmatisation de nos concitoyens musulmans.
    Il n’y a pas de plus, ni de moins Français que les autres !

    Je serais toutefois tenté de dire que les politiques et autres qui n’ont de cesse, d’inciter à la haine, de stigmatiser et de vouloir exclure de la France et de la nationalité française, des catégories de Français, le sont moins que les autres.
    Ils sont d’ailleurs le plus souvent au service d’intérêts étrangers à la France et aux Français, contre ceux de la France et des Français.

    Par ailleurs, je pense qu’il est logique et prioritairement fondé que les personnes originaires des anciennes colonies françaises, (soumises à des dictatures néo-colonialistes, mises en place ou soutenues et entretenues par la France et dans lesquelles la France –ou plutôt les maîtres de la France- possèdent d’importants intérêts économiques) vivant en France ou nées en France « bénéficient » de la nationalité française, si elles le souhaitent.

    Pour ma part, je suis tout naturellement Français comme beaucoup.
    Je n’en éprouve, ni honneur, ni déshonneur.
    Mes combats sont l’égalité concrète, la justice, la liberté de l’homme et des peuples, la défense de la Vie.
    Je condamne tous les crimes et répressions commis au nom de la France ou au nom du peuple français, contre des Français ou d’autres peuples, que cela fusse dans « nos » ex-colonies extérieures ou dans « nos » provinces conquises ; que cela soit actuellement contre des concitoyens du fait de leur classe sociale, de leurs origines, de leur religion ou de leurs opinions.
    J’estime n’avoir aucune leçon à recevoir en matière de citoyenneté, de la part d’individus qui n’ont que la France et les « valeurs de la France » à la bouche pour mieux tromper et renforcer un racisme d’état conforme aux exigences et aux intérêts de leurs commanditaires.
    Mes racines sont ancrées dans des « provinces françaises » et c’est autrement plus important pour moi, que le simple fait de posséder la nationalité française !

    Qui peut établir des critères de mérite de la nationalité française et réclamer la déchéance de la nationalité ?
    On peut se demander en quoi des politiques, parmi lesquels des Français de fraîche date, qui ne sont pas les moins acharnés, si ce ne sont les pires ; peuvent s’autoriser à établir des critères d’acquisition de la nationalité française et à réclamer la déchéance de la nationalité pour des « Français d’origine étrangère ».
    On peut aussi s’interroger en quoi, ils ont mérité leur nationalité française ?

    Les valeurs de la France, clamées par les politiques ?

    Les Droits de l’homme ?
    La plus ancienne imposture et opération de propagande et d’encadrement permettant de mieux violer des droits fondamentaux et essentiels naturels de l’homme que sont la liberté, l’égalité, la dignité et la vie ; qui n’ont pas attendu « la Déclaration universelle des Droits de l’homme » proclamée en contre-feux, pour être défendus.
    Une Déclaration qui feint de « donner » un droit au début de chacun de ses articles et qui le retire à la fin de l’article ou à l’article suivant !
    Des droits naturels et fondamentaux dont la violation ou pas, est laissée à l’appréciation et à la convenance d’officines et de services, tels que la CEDH.

    La Révolution française ?
    Une autre mise en scène historique ayant consisté à enfoncer les portes ouvertes d’une « Bastille » pour préserver la continuité et la persistance dans le temps d’une infinité d’autres plus profondes, et les privilèges attenants, en particulier dans la fonction judiciaire.
    Le procureur de la République a remplacé le procureur du Roi.
    Les « lettres de cachet » émises par de nouveaux princes et rois, selon des « procédures » ou « filières » permettant leurs exécutions rapides, se parent des « vertus » du droit et de la loi.

    La liberté ?
    Où est-elle ? , quand « nos » élus de tous bords n’ont pas d’autre motivation et de programme que de réduire et de traquer les derniers espaces de liberté
    L’égalité ?
    Où est-elle ? , quand il y a les plus égaux et les moins égaux que les autres (Suivez mon regard !) et une « justice » qui absout et adule « les plus égaux » condamne et écrase « les moins égaux ».

    La laïcité ?
    Où est-elle ? , quand les musulmans sont en permanence suspectés, accusés et fantasmés et que l’islam en France est « chapeauté » par des émanations du ministère de l’Intérieur.

    L’hymne national ?
    Le drapeau ?
    Que sont les sifflements d’un drapeau (servant souvent de paravent à d’autres drapeaux !) ou de « La Marseillaise » (Hymne appelant les citoyens « aux armes » et a ce « qu’un sang impur abreuve nos sillons »), par rapport aux violations des principes fondateurs de la République contenus dans la Constitution, du droit, des droits et des Droits de l’homme (même si ce sont des impostures !) ; par ceux-là même qui n’ont que les « valeurs de la France » à la bouche et un hymne sanguinaire à la place du cerveau.

    La loi ?

    - Quelle légitimité de la loi quand elle est inégalitaire et injuste et ne sert qu’à « légitimer », à « sacraliser » et à entériner « au nom de la loi », les violations des droits fondamentaux de l’homme et des peuples ?
    - Quelle légitimité de la loi quand elle sert à traquer et à supprimer nos dernières libertés ?
    - Quelle légitimité de la loi quand elle est interprétée ou faite au bénéfice de citoyens, contre d’autres citoyens ?
    - Quelle légitimité de la loi quand elle discrimine et stigmatise des citoyens ?
    - Quelle légitimité de la loi quand elle vise à réprimer des idées et des pratiques religieuses normales ?
    - Quelle légitimité de la loi quand elle criminalise et réprime la solidarité avec des victimes d’injustices, de répressions et d’oppressions ?
    - Quelle légitimité de la loi quand elle vise à réprimer la pensée et à faire taire la vérité ?
    - Quelle légitimité de la loi quand elle vise à la domination de citoyens sur d’autres citoyens ?
    - Quelle légitimité de la loi quand elle est utilisée comme arme de guerre par des citoyens, au bénéfice de citoyens, contre d’autres citoyens ?
    - Quelle légitimité des lois raciales/racistes spécifiques et anticonstitutionnelles, instaurant la discrimination, l’inégalité, la préférence, la distinction, la haine, la détestation, la division entre Français ?
    - Quelle légitimité des lois instaurant l’aggravation des peines pour certaines appartenances religieuses ou idéologiques, des origines ou de la fonction des victimes de faits allégués ?
    - Quelle légitimité des lois quand leur application se fait sous le contrôle et au bénéfice essentiel de leurs instigateurs ?
    - Quelle légitimité des lois quand elles visent à assurer l’impunité et l’intouchabilité de certains Français ?
    - Quelle légitimité des lois racialisant la société française en violation des principes d’égalité, fondateurs de la République ?


    « Les agents de l’autorité publique » ?
    Fin juillet 2010, Sarkozy a réclamé une loi prévoyant la déchéance de la nationalité pour « les Français d’origine étrangère » ayant « porté atteinte à la vie d’un agent de l’autorité publique ».
    Une telle demande n’a suscité que très peu de réactions d’indignation de la part des politiques et de l’opinion.
    Les ministres de l’Intérieur, Brice Hortefeux et de l’Immigration, Eric Besson, ont annoncé qu’ils se mettaient à l’ouvrage et qu’ils prévoyaient l’extension de la loi aux « polygames » (sic)…
    Des juristes lui ont opposé l’inconstitutionnalité d’une telle loi établissant des discriminations entre Français, du fait que l’Article 1er de la Constitution indique que la France « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion ».
    C’est sans doute une première à relever, car aucun juriste n’a jusqu’à présent souligné l’inconstitutionnalité de nombreuses lois violant l’Article 1er de la Constitution !!
    Toutefois aucun de ces juristes n’a souligné au titre de l’Article 1er de la Constitution, le deuxième cas d’inconstitutionnalité contenu dans la demande de Sarkozy qui ferait des « agents de l’autorité publique » des citoyens supérieurs aux autres, bien que d’autres lois spécifiques leur attribue ce privilège. Sans parler du fait que cette autre distinction est également humainement et moralement inacceptable !
    Il aurait été plus fondé et plus constitutionnel que Sarkozy demande une loi prévoyant la déchéance de la nationalité de toute personne portant atteinte à la vie.
    Mais restons les pieds sur terre ; ne sombrons pas dans l’illusion et dans la naïveté !!
    Rappelons quand même pour mémoire, qu’aucun militaire français, n’a été recherché ni poursuivi pour ses crimes commis durant la guerre d’Algérie et que le préfet de police de Paris, Papon, n’a jamais été inquiété pour sa responsabilité dans la répression de la manifestation d’Algériens en 1961 à Paris, dont les victimes ont été évaluées à plusieurs centaines de morts, « noyés » pour la plupart.
    Aucun flic n’a été non plus alors inquiété.

    A noter aussi que dans les affaires de violences policières et de morts « accidentelles » ou « naturelles », lors d’un contrôle, d’une « interpellation », d’une garde à vue, d’une « course-poursuite » ; les plaintes déposées par les familles des victimes sont régulièrement « classées sans suite » ou sujettes à des « ordonnances de non-lieu ».
    Tandis que les victimes de violences policières sont systématiquement condamnées pour « rébellion et outrages à agents » sur la base des seules allégations des policiers mis en cause ; voire même condamnées en plus pour « dénonciation calomnieuse » !
    Sans doute là, une adaptation de « l’égalité républicaine » vantée dans la Constitution et sur les frontons des édifices « républicains » !!!

    Les guerres ?
    Combien de « morts pour la France » sont morts volontairement pour la France ? même si beaucoup ont pu croire « mourir pour la France » parce que l’on leur a fait croire.
    Leur a-t-on même laissé le choix ?
    Le fait est que la première guerre mondiale a vidé et tué des quantités de villages dans leur âme, et ce jusqu’à nos jours.
    Et toutes ces guerres coloniales, de conquête, d’occupation, de « pacification » avec leurs cortèges de massacres, de génocides, de tortures, de viols, de « représailles » contre les velléités de liberté et de justice des populations « indigènes » malgache, indochinoise, algérienne ?
    Quelles valeurs, prétendait-on, leur apporter en notre nom ?
    Quelles « valeurs de liberté et de démocratie » apporte-t-on aux Afghans, que « nous » occupons et tuons aux côtés des Américains, pour empêcher le retour des « Talibans » ?

    Les vraies valeurs de la France?
    Elles sont ancrées dans l’universel.
    Ce furent jadis, les révoltes des serfs et des « manants » contre leurs Seigneurs et leurs alliés usuriers.
    Ce sont les identités, la diversité des identités, des paysages, des cultures, des langues, des histoires.
    Ce sont des hommes et des femmes qui tentent de vivre et de survivre avec de maigres subsides ; pendant que les exploiteurs baignent dans une opulence indécente.
    Ce sont aussi les populations des cités, dans leur diversité.
    Les valeurs de dignité, de liberté, d’égalité et de vie et les hommes qui les défendent.
    Ce sont les hommes qui se situent dans la lignée de La Boétie (du « Discours de la servitude volontaire » ; qui refusent et dénoncent toute domination et tout asservissement ; qui luttent et défendent la liberté.
    Ce sont les hommes qui réagissent encore, face aux oppressions et aux répressions.

    Qui viole les valeurs de la France ?
    Les individus qui se autoproclamés propriétaires de la France et des Français ; ont confisqué les institutions à leur profit (à l’aide de complicités politiques) afin d’en faire des armes de guerre, d’oppression et d’asservissement contre les autres.
    Les auteurs de discours et de lois de préférence ou de détestation communautaires.
    Les individus qui ont racialisé la moindre opinion et la moindre bousculade.
    Les auteurs de discours et de lois instaurant des distinctions entre les Français et des hiérarchies dans le prix de la vie.
    Les lois établissant pour des mêmes faits, l’impunité et l’intouchabilité pour certaines catégories d’individus et l’aggravation des peines pour d’autres.   

    Daniel Milan


    Dossiers divers à consulter et à diffuser

    http://portailantitotalitaire.unblog.fr/2010/01/24/lactualite/
    http://portailantitotalitaire.unblog.fr/2009/11/22/articles-de-daniel-milan/
    http://portailantitotalitaire.unblog.fr/2010/07/04/articles-de-daniel-milan-2/ http://portailantitotalitaire.unblog.fr/2010/07/23/documentsdossiersvideossitesblogsarticles/      http://portailantitotalitaire.unblog.fr/2009/11/06/dossiers-verites-cachees/
    http://portailantitotalitaire.unblog.fr/2009/10/29/resistance/
    http://portailantitotalitaire.unblog.fr/2010/01/24/racisme-detat/

 

Commentaires (1)

said le 29/08/2010


L'Indonésie est un Etat laïque et démocratique. Pourtant, dans la province semi-autonome d'Aceh, au nord de Sumatra, l'islam a sa police. Depuis le tsunami de décembre 2004, des centaines d’agents de l’ordre islamique ont été déployés dans la province, traquant les "comportements non musulmans". Simples blâmes ou flagellations publiques punissent ceux qui enfreignent les règles du Coran.


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